Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Je demeurais longtemps errant.
21 mai 2009

Animal.

Ce n’est qu’une question de rythmique.

C’est simplement parce que leur rythme est plus lent que les plantes nous calment ; j’ai eu tord de les haïr pour leur manque de vie. Sans doute ont déjà éclatées en leur sein nombre de guerres dont notre système temporel ne sentira jamais les ravages, ou, tout y sera différé.
C’est le rythme qui chez autrui nous passionne. L’homme trop vif nous brusque ; les lenteur nous endorment ; notre identique nous immobilise, rien ne nous forçant alors à l’étirement, à l’élasticité qui fait tous les charmes, qui fait toutes les danses
. Celui dont le rythme cours à l’avantune candence minutieuse, celui-ci, nous éléctrifie ; à l’inverse, celui qui derrière nous est mue par l’apesenteur, dans de precises meusure d’une lenteur maîtrisé nous hypnotise : il est la grâce.
Alors, nous rencontrons la poésie.

DSC_5562

Publicité
Commentaires
Catégories
Publicité
Archives
Publicité